Statistiquement, j’imagine que je dois faire partie des « riches » mais mes revenus sont quand très modestes par rapport à ceux d’Elio Di Rupo, Stéphane Moreau ou Anne Demelenne.
Par ailleurs, le programme que nous défendons n’est pas au service des riches actuels. Ceux-là ont tout intérêt au maintient du système qui les a enrichi. Mais nous sommes au service des riches de demain, ceux qui veulent se bouger, entreprendre, créer de la richesse, servir leur pays de façon utile et jouir pleinement des revenus de leur travail. Ceux qui en profiteront concrètement sont ceux qui sont aujourd’hui « au bas de l’échelle sociale », ceux qui n’ont pas diplôme, pas de rente de situation, pas de connexions politiques, pas de capital familial.