Il n’y a pas de solution au problème des pensions.
Le principe de la répartition a été adopté pour pouvoir offrir à la première génération une pension pour laquelle ils n’avaient pas cotisé. Rien ne se perd, rien ne se crée. A la sortie du système, il y aura nécessairement une génération qui cotisera sans jamais rien toucher. C’est mécanique et il est impossible de l’éviter. Même si on faisait tenir le système 100 ans de plus, ça ne changerait pas la donne.
Dans le programme que nous adopterons ce 11 novembre, nous proposerons quelques mesures destinées à adoucir le choc de la sortie du Ponzi des pensions.